Le Bahia présenté des points positifs et négatifs mais globalement on sent un effet trop business qu une ambiance familiale.
Point positif :
- beau cadre
- musique DJ sympa
Point negatif :
- table trop collé on ne peut pas danser hormis a côté de notre table en ayant les serveurs qui passent sans cesse a côté de nous
- manger trop cher pour la quantité
Donc ambiance mitigé
Bar cosy ! Très bonne ambiance et grande terrasse l’été, la cuisine est au top pour une petit fringale, et le personnel est au petits soins avec vous ! (Petit mention à Jolan). Et entraînez vous pour essayez de battre Rémi au puissance 4, il est imbattable ! Bref, c’est devenu mon repère, je recommandé à 200% !
PS : Les potatoes sont incroyables !
Arnaque.
Le serveur s'est trompé de boisson pour l'un d'entre nous. Il l'a échangée de suite (merci bien) mais nous a fait payer une consommation en plus lors de l'addition (non merci).
Nous étions les derniers clients du bar.
Malgré nos contestations, il nous a répondu : "c'est dommage ! je viens de jeter les reçus", alors qu'il encaissait la dernière consommation (l'erreur, la dernière de trop), imprimant le reçu et l'ajoutant à un gros tas de reçus sur un pique, juste sous notre nez.
C'est quand même très bizarre... pas d'historique sur votre machine ?
Bar Gay friendly estimate vraiment très sympa. J'y vais depuis des années et je ne suis jamais déçu. Une grande terrasse sur une petite place très jolie et qui instille une atmosphère rassurante. Les oliviers installés nous transportent un peu en Provence. L'intérieur est petit mais l'étage offre un cadre 18eme sympa. Les serveurs sont très bien et le patron est un personnage Lyonnais à rencontrer.
Je recommande biens sûr.
La cuisine est très bonne avec des plats variés et de saison, les serveurs/serveuses sont très gentils et le cadre en terrasse et super, mais il est vrai que j’ai été très déçu quand j’ai vu qu’au bout d’une heure à peine, toute la partie plat chaud a été retirée. Je n’ai pas pu me servir de ce qui été proposé car il y a beaucoup de monde, et nous étions pourtant au début du second service.